Mal nourri, exploite, il est place chez Mr Sowerberry, fabricant de cercueils et croque-mort de son etat. La encore, il ne connait que privations et mauvais traitements. Oliver endure tout, jusqu’au jour ou une provocation d’un apprenti le pousse a se battre puis a s’enfuir par Londres.
Epuise et affame, Cela reste recueilli avec une bande de jeunes voleurs qui travaillent pour le vieux Fagin.
Entre Bill, Nancy, Monks, Charley Bates, Toby Crakit et les autres, Oliver decouvre un monde cruel ou seules comptent la ruse et J’ai force.
Iil faut dire que j’aime l’univers de Dickens, son ecriture, l’ambiance a J’ai fois sombre et poetique que celui-ci met dans ses recits,je suis loin d’avoir lu toute sa bibliographie mais c’est en previsions ne me reste qu’a trouver le temps, le probleme reste toujours le meme!
Concernant le livre en lui meme, depuis beaucoup de chose que j’ai aimee dedans, ce plongeon dans l’enfance beaucoup que complexe de notre heros est plein de poesie et de fantaisie, Dickens a su transposer de facon brillante a J’ai fois la precarite souvent eu dans la societe dite pauvre du 19e siecle et toute l’esperance et la naivete de l’enfance a travers les agissements et reaction de ce petit garcon destine a tellement plus que de rester juste un orphelin parmis tant d’autre. Mes personnages paraissent tous tres charismatique et attachant de la facon ou de la autre, claque que le roman ne soit gui?re focalise entierement sur Oliver est votre point tres positif a les yeux, sans i§a j’imagine que j’aurai finie par m’ennuyer.
Les “mechants” de l’histoires qui ne semblent justement pas juste mechant sont toutes l’ame et l’interet du bouquin, Fagin beaucoup qu’etant un homme mauvais et profiteur est aussi drole et bas en couleur, Sikes J’ai brute epaisse sans sentiments et de la cruaute demesure, c’est le personnage a detester et pourtant je trouve que celui-ci est l’un des plus fascinant, j’ai est en mesure de etre regretter que l’on n’en sache pas plus sur le passe justement, Nancy quand a elle reste l’archetype meme de l’enfant naive et perdue devenue adulte, a le tour elle se trouve dans la position de guide pour nos enfants des rues et pourtant la venue d’Oliver va changer sa facon d’observer les trucs.
Di?s que aux “gentils” c’est en fera nos personnages que je trouve les moins interessant excepte est en mesure de etre celui de Rose qui m’a bien intrigue, il faut penser que le mystere reste bien apprehender autour d’elle et ses relations bien developpe que ce soit avec Harry ou avec Mrs Maylie.
L’ecriture aussi clicca qui per indagare si c’est avant tout votre point positif pour moi, j’ai trouve qu’il y avait parfois trop de descriptions, aussi oui il est important qu’il y en est pas mal et globalement c’est beaucoup les grandes descriptions ca m’aide a vraiment bien me transposer au bouquin mais la trop c’est. trop Divers endroit n’en necessitait pas tant, les phrases de dix lignes ca finit par etre un tantinet indigeste!!
J’ai religion, legerement trop omnipresente, surtout lie a Fagins c’est dans mais point trop n’en faut i nouveau un coup, je n’irai pas jusqu’a dire tel dans quelques critiques que j’ai lu que ca a gene ma lecture, je ne l’apparente gui?re a du racisme puisqu’il va falloir remettre des choses dans leurs contexte et surtout beaucoup se mettre en tete que c’est aussi l’epoque qui veut ca!!
Le personnage d’Oliver, oui je sait c’est 1 comble! mais je lui est trouve un tracas de charisme incroyable!! a penser grand le roman aurait bien autant pu s’appeler “Fagins”
En conclusion, c’est vraiment 1 veritable traditionnelle qu’il faut avoir lu, je le recommande donc chaudement mais attention il ne faudrait jamais avoir peur des longues descriptions ainsi que l’ambiance sombre de l’auteur.